Élysée de Guerre du 14-07-2013

Au même endroit que la veille, tout est calme. Comme si le temps avait figé autour des appartements. Les humains des environs ne bougent plus depuis la tombée de la nuit. Même les chiens sont confinés à l'intérieur. De temps à autre, l'on entend le bruit d'une voiture. Plus fréquemment, les sirènes des auto-patrouilles rugissent comme une sombre mélodie, annonçant décès, crime, désespoir nouveau.

Mais à l'intérieur de l'Élysée, tout est calme.

(HRP: Juste pour dire qu'André va arrivé en dernier. C'est pour ça que je post pas)

(HRP : Je propose qu'on skip directement au moment où on est tous là pour commencer le vrai rp.  Si on attends que tout le monde réponde, ça va encore durer des plombes, et on sait déjà très bien que tout le monde va être là anyway.

Désolée de presser, mais comme ya surement des moves qui vont découler de celui-là, ça serait bien qu'il prenne pas le mois au complet. )

(HRP: TELLEMENT D'ACCORD)

- Merci à tous d'être revenue ce soir. Monsieur Luther, nous somme tous des gens très occupier et l'heure est déjà assez grave. Je propose donc de vous laissez immédiatement la parole. Est-ce que vous avez découvert quelque chose? Pouvons voir les images? Est-t-il sécuritaire de s'y rendre en personne? De grace, de faite point duré ce suspense inutilement".

Monsieur Cantin avait une fois de plus chaleureusement accueilli tous les conviée en le domaine de monsieur Kendall. Celui-ci était debout dans le salon, faisant signe à tous de prendre place et les remerciant de leur présence. Une fois tout le monde arrivée et installé, il prendra la parole.

-Le suspens ne durera plus longtemps. Avant de commencer, je vais invité toute personne aillant le cœur plus sensible à quitter la pièce le temps du visionnement. *Il attend que ceux qui veulent quitter le fassent* Bon... allons-y...

Luther appuis sur un bouton du lecteur DVD qui se trouve sur la télévision dans le salon sans grande assurance, n'était visiblement pas alaise avec la machine moderne. Il s'adosse ensuite contre le mur à côté. Ceux qui y prête attention remarque qu'où il est placé, il ne peut voir ce qu'il y a sur l'écran.

La caméra s'allume sur un la vision d'un vieux garage d'une autre époque à bonne distance. Les deux caméraman sont très silencieux, et s'ils ont discuté en route vers leur destination, ce n'est plus le cas.

Le garage se situe dans une cour arrière reculée d'un petit quartier commercial, qui est lui-même presque entièrement désaffecté. On parle d'une vingtaine de bâtiments vieux et insalubres. En temps normal, les seuls qui restent là semblent être des sans-abris, et tu n'en remarques qu'un seul en ce moment (qui dort dans une boîte en carton); ils sont donc beaucoup moins nombreux qu'à l'habitude. Autour, il n'y a que de vieux barils, parfois vides ou pleins, et de vieilles autos rouillées de toutes sortes, ça et là. Il y en a même une pile de 4, écrasées, plus loin dans la court. Voici une image du garage, qu'on s'imagine bien la chose.



Le garage lui-même est annexé à la maison.

Les deux hommes se mettent à avancer doucement, et font aller la caméra dans différentes directions, dévoilant la paysage décrit précédemment.

Ils avancent vers la porte, qui semble déjà entrouverte.

Zoom sur la poignée qui semble avait été retirée avec violence.

Le caméraman laisse aller, dans un murmure subtil:

- Whoa, ça pue la mort, c'est pas croyable...

Et on l'entend pousser un espèce de soupir de résignation alors qu'il pousse doucement la porte d'entrée, après avoir écouté un bref moment. Même dans la caméra, on entend le bruit de nuées d'insectes.

Après que la porte ait été poussée, on entend clairement l'autre homme pousser un bref:

- Ça a pas de bon sens... ça a pas de bon sens...

Ils observent autour, et s'assurent que la caméra capture tout. Le bâtiment en ruines est habité par des myriades d'insectes qui s'arrachent la pitence de ce qui sont manifestement des cadavres.

À gauche de la porte, une figure ensanglantée (et couverte de mouches et de vers blancs) est empâlée dans le mur, par deux pôles de métal qui lui passent à travers le torse, une dans le bras gauche, et une dans la tête.

La caméra avance, et un restant de cadavre git au sol, ouvert en deux par le torse, ses côtes tirées vers l'extérieur. Il lui manque une part de sa tête (coupée au 3/4 de biais), et sa jambe gauche à partir du genou en descendant. Il ne reste presque plus de chair sur le corps tellement il a été mangé par les insectes.

À droite, sur une table, un corps de ce qui a dû être une femme pend à la table par les mains. Des clous de chemin de fer traversent ses deux mains et la table, et ses deux jambes, très manifestement cassées ne servent plus à la soutenir, probablement avant sa mort. L'outil qui lui a cassé les jambes (un sledgehammer) est probablement le même qui lui a défoncé la tête, et qui est encore logé dans son crâne. Une immense flaque de sang séché sous la table témoigne du temps de torture avant que la mort ne lui soit infligée.

Près d'elle, au sol, un corps raide (et aussi mangé que les autres), gît sur le dos. Il a, de plantées dans le cou, deux pinces de "câble à booster" qui mènent à une batterie d'automobile, désormais à plat, et dont l'acide s'est répandu et a séché, donnant aussi à l'endroit une odeur désagréablement alcaline, en plus de tout le reste, une chose deux les deux hommes tentent de ne pas se plaindre sans succès.

L'autre homme interpelle le caméraman à voix basse, et lui pointe un corps dont la main est collée (et qui a fusionné) avec un poêle à bois qui a dû fonctionner il y a un temps. Son cou a été "mordu" (en entier, pas juste deux trous), et il n'y a pas de sang autour de ce cadavre-ci.

Dans l'autre coin du garage, qui semble avoir servi de "dortoir", il y a un cadavre qui ne semble pas mutilé outre la blessure béante qu'il a à la tête. C'est difficile à dire, vu l'état actuel du cadavre, et la quantité de vers qui en ressortent dans tous les orifices.

Le dernier "cadavre" est plus ou moins reconnaissable, dans la mesure où il est passé dans une "mini souffleuse", et qu'il n'en reste rien d'humainement reconnaissable.

Les deux hommes ont de la difficulté à avancer, et prennent tout sur caméra, aussi difficile la chose puisse t-elle paraître. On voit des traces de combat partout, du sang sur les murs. On remarque des bouteilles d'alcool, des armes à feu ainsi que d'autres armes blanches. Les cadavres eux-mêmes ont l'air d'avoir été armés (même si les caméraman ne touchent pas au cadavres, on voit des armes sur les deux à l'entrée et celui qui a une blessure béante à la tête). Il y a des symboles un peu partout sur les murs fait à la cannette de peinture, et les fenêtres sont bien barricadées, principalement avec du bois et du grillage de fer.

Dans une section de l'endroit, il semble y avoir des objets de valeur, des portefeuilles, des vêtements que les morts ne portaient manifestement pas.

Il est à mentionner que tous ces cadavres sont parfaitement chauves, et les deux hommes sur place commentent sur le fait qu'ils sont tous couverts de tatouages à la grandeur du corps, et assez musclés. Après quelques longues minutes à l'intérieur de l'endroit, les deux hommes se sentent clairement malades, et décident de sortir, disant qu'ils ne trouveront rien de plus sans devoir toucher quelque chose.

Le vidéo prend fin, la télévision retourne sur le menu du lecteur DVD. Luther ne bouge pas, ne dit rien, laissant le temps au gens de comprendre et d'accepter (ou non) ce qu'ils viennent de voir.

André prend un bon moment avant réagir. Il a regarder le vidéo sans bronché. (AMPATHY 2: Mais il est clairement ébranlé tel qu'indiquer par le temps qu'il prend avant de bouger, parler ou même battre des yeux).

- Anick. Je veux me faire un tableaux claire de tout ce qu'on sait. Vous êtes la secrétaire, je compte sur vous pour m'étaler l'information de manière compréhensible. Nous partirons de là, et des images que nous venons de voir pour décider d'un plan d'actions. Nous avons deux dossiers: celui des Sabbat, et celui des Giovannie. Commencez par le Sabbat. Qu'est-ce que nous savons?

Pendant le visionnement du film, au début du moins, Anick n'avait soufflé mot, cependant, elle avait été facile à lire.  Dès les premières images, les yeux de la jeune Kindred avaient élargis, elle semblait aussi choquée que les pauvres mortels chargés de filmer la scène.  Au fur et à mesure des images, et jusqu'à environ la moitié du film, les autres Kindred présents purent sentir une pression familière émaner de la Kindred, une impression écrasante, colérique et agressante.  Alors que les membres les moins expérimentés dans la salle ne ressentiraient certainement qu'un malaise d'une nature inconnu, il ne pouvait y avoir aucun doute dans l'esprit de ceux ayant marché de longues années dans le monde de la nuit : la Bête d'Annick s'était éveillée pendant le visionnement du vidéo.

L'impression ne dura cependant que quelques courtes secondes, tellement courtes que les plus jeunes Kindred de la salle ne réalisèrent peut-être même pas ce qui se passait.  La Kindred cligna des yeux une fois, tout en continuant de regarder le vidéo, et une nouvelle émotion apparut sur son visage.  Doucement, mais impossible à méprendre pour quoi que ce soit d'autre, des larmes se formèrent aux yeux de la Toréador.  Elle sortit de son sac à main un mouchoir de poche noir sur lequel avait été finement brodé une rose pleine aux teintes gris/vertes, et le mena à ses yeux.  

Quelques secondes plus tard, Anick avait commencé à sangloter silencieusement, incapable de détacher le regard des atrocités à l'écran.  La Vitae, goutte par goutte, s'échapait d'elle et attérissait sur le tissus noir, répendant dans la salle son enivrant parfum, rendant le visionnement du vidéo certainement plus difficile pour beaucoup d'entre ses congénères.  Lorsque le vidéo fut enfin terminé, et incapable de se contenir plus longtemps, Anick profita du silence temporaire pour se lever prestement et aller dans la salle de bain de l'appartement pleurer encore un moment.  Très évidemment, la jeune Kindred fait parti des "âmes sensibles" averties au début de la soirée.

Malheureusement, donc, il faudra probablement lui laisser le temps de calmer ses émotions, ou bien aller la chercher, avant qu'elle ne soit apte à participer activement à la conversation.

(Empathy 3: Il n'y a aucune comédie venant de la jeune Kindred, toutes les émotions démontrées sont authentiques et dérangeantes.)
(Empathy 4: Le fait de calmer la Bête semble avoir été aussi aisé pour Anick qu'un pet l'est pour un mortel.)

Si Acute Sense Hearing ou Auspex 1 est activé:

HRP: à ceux et celles qui ceulent être de ce move/post mais qui ne se sont pas encore manifestés, n'hésitez pas à vous intégrer à mesure, l'invitation a été lancée à tous ceux qui font partie de cet élysée de guerre, aka tous les joueurs et certains PNJ.

(HRP: Parlant des PNJ. Je precise que j'ai spécifiquement jamais parlé de ce second élysée de guerre devant le PNJ de Ben. Il est donc pas sensé savoir que y'en a un à moins d'un monumentale fail de ma part ou que quelqu'un l'ait invité.)

HRP: Duly noted.

(HRP: Pardonnez mon post tardif, je suis très occupé dernièrement, la job prends beaucoup de mon temps)

Ce n'étais pas la première fois qu'Ernest était témoin d'images de violence, mais aussi intense que ce qui était présenté à l'écran, visiblement certains aires de dégouts se sont démontré dans le visage de Ernest. Mais il resta sans trop de réaction trop prononcé, ce n'était pas le moment de se laisser emporter par les émotions.

La malkivian observe avec intensité, se mordille la lèvre en pleine réflexion, ses pupilles regardent les images avec une grande attention. Son expression sérieuse et concentrée laisse entrevoir un héritement léger.

Elle semble surprise à quelques moment et elle se perd quelque part dans sa tête.

"" Y'a de quoi d'inquietant dans cette video et c'est pas la deco nouveau genre... Ces choses pour ce qui en reste semblent être... ce que j'ai suivi et que j'avais pris pour du sabbat. ""

La malkivian prend le temps de regarder tout le monde :

"" Même style, look, tatouage, coiffure?, vêtements. ""

Fait une pause, la malkivian semble peser ses paroles...

"" si c'est le cas, c'est sur que y'a quelque chose dans les rues de tres pas recommandable. Je suis sure que ces choses ne sont pas mortelles... Pour ce que j'ai pu en voir il y a trois semaines. ""

"" si je m'avance, si j'oserais, je dirais : cette nuit-la, l'ombre de cadavre canibale a peut-etre , pas fait le menage mais le contraire, dans le garage où ce que je suis suivais sont aller... "

Maxime Artenie n'a pas bronché durant le visionnement. Aucun sourire, l'air grave, elle garde le silence en observant chaque personne qui prend la parole. Après le discours de la Malkavian, elle déclare d'une voix douce et songeuse :

Si je puis me permettre une précision, miss McFarland, nos ennemis ne tenteront jamais de passer totalement inaperçus à nos yeux. Ils feront au contraire le nécessaire pour nous déstabiliser, pour brouiller nos pensées, atteindre notre Humanité. Pareil carnage n'est pas le premier que je vois mais une chose m'intrigue... Habituellement, ils font ce qu'il faut pour NOUS terroriser. Pas les humains. Ils préfèrent que les moutons ignorent qu'il se trouve un loup dans la bergerie. Et ici, un enfant de six ans aurait pu trouver cette scène de crime.

Elle laisse sa phrase en suspend et demande à l'adresse d'André Howard :

Les autorités humaines ont-elles eut conscience de cette boucherie ?

* L'immobilisme prolongé de Victoria et ses yeux rivés sur l'écran longtemps après la fin de la projection démontrèrent aisément qu'elle n'avait pas l'habitude de ce genre de scène. Ses mains étaient crispées sur son sac à main et son visage totalement inexpressif. La discussion ne la fit pas réagir. Elle baissa finalement le regard, son malaise toujours palpable.*

Pendant tout le visionnement de la vidéo, Cornelius resta bien assis au fond de son fauteuil, seuls ses bouts de doigts se touchèrent devant lui. Le Ventrue ne quitta pas des yeux l’écran qui montra des images qui auraient horrifié n’importe qui avec une quelconque conscience humaine.

Il n’eut aucune réaction à la fin du visionnement. Il regarda Mme Beausoleil sortir de la pièce du coin de l’œil sans bouger la tête et ignora les propos de la Malkavian.

« Messieurs dames, je crois que nous avons beaucoup de questions et peu de réponses. Attendons que Miss Beausoleil reprenne ses esprits et nous explique la situation. Je ne suis pas sûr d’avoir le portrait d’ensemble. J’ai dû manquer des informations lors de mon périple à Ste-Marguerite de hier.»

(HRP: Claque un willpower pour avoir un success sur un jet de Self-Control)

- Monsieur Harding a bien raison et Madame Artenie dit vrai. Le temps que madame Beausoleil nous rejoigne, je propose ceux qui en ont besoin en profitions aussi pour se remettre de leurs emotions. Ces images sont fort troublantes, j'en convient. Mais, ce qui est derrière tout ça est notre ennemie. Nous ne devons pas le laissez nous destabiliser. Nous pouvons vaincre. Nous seront la barricade qui protège cette ville!"

(HRP: J'ai un blanc, je m'excuse. Mais Cornelius Harding, c'était quel perso déjà?)

HRP: Le Ventrue avec la chemise bleue et la cravate blanche. Simon, le chum à Lee-Ann.

(HRP: Excellent. Merci! Salut Simon!)

(HRP: un point a été éclaircit depuis mon dernier post, Anick ne pleure donc pas des larmes de sang, mais bien de véritables larmes très humaines.)

Il fallut encore un petit moment à Anick avant de ressortir, le temps de se rendre de nouveau présentable sans doute.  Lorsqu'elle finit par émerger de la salle de bain, ce fut les yeux légèrement rouges et toujours un peu humides, mais elle semblait, somme toute, plus calme.  Elle revint vers la réunion et resta debout, présentant ses excuses aux Kindred présents pour son inconvenante conduite.

Pour ceux avec Auspex 1 ou Acute Sense Hearing OU pour Soeur Artenie:

André regarde Anick, cherchant à voir si elle est prête à poursuivre.

- Si vous êtes d'attaque. Nous avons du pain sur la planche, ma chère. Pourriez-vous nous étaler l'information de manière compréhensible? Nous partirons de là pour la suite. Commencez par le Sabbat, nous verrons pour les Giovannie plus tard. Qu'est-ce que nous savons?"

Anick prit une bonne inspiration et hocha la tête pour signifier qu'elle pouvait continuer. Elle sortit de son sac à main son carnet de note et son crayon et commença à lire ce qu'elle avait écrite la veille.

-Sainte-Marguerite-des-Roses est leur quartier d'activité principal, si on se fie à l'augmentation vertigineuse de la violence qui s'y passe depuis les dernières semaines. À moins que je ne me trompe, nous soupçonnons que l'arrivée en ville du "Black Velvet" peut leur être attribué.

Madame Sharps nous a informé de ses découvertes récentes de plusieurs cadavres de femmes noires. Les femmes ont d'abord été vidées de leur sang et démembrées par "Anick frissonne à l'évocation de cette réalité" une scie grossière. L'investigation a révélé que les perpétrateurs de cet acte sont trois hommes de race noire, dont l'aura est elle aussi extrêmement noire. Une vue précise de leurs visages n'a pas été possible, nous savons cependant qu'ils roulent dans une Buick 97 de couleur brune. Les cadavres portaient les traces spirituelles d'une sorte de rituel de type voodoo. À priori j'aurais pensé à un Ventrue antitribu vu la...similarité entre chaque victime, mais le rituel me fait maintenant douter de ce raisonnement.

L'élysée de guerre du 12, donc avant-hier, s'est terminée brusquement lorsqu'une membre du clan Malkavian a déclanché les hostilités ayant mené à l'entretuage de tout les participants, il n'y a que deux survivants. Le Black Velvet a été mentionné comme possibilité de cause, mais mon opinion personnel se porte plutôt vers une intervention surnaturelle. Que le coupable ait été dans la salle ou non, le Sabbat savait qu'une réunion se passait avant-hier, et y a provoqué la catastrophe, ce qui porte à croire que nous avons peut-être encore une taupe dans nos rangs. L'évènement n'a eut que deux survivants, Mr. Sean Kelly, du clan Gangrel, et Mr. Richardson, du clan Ventrue. Ce dernier ce trouve dans un étant critique et nous ne savons pas quand est-ce qu'il se réveillera de sa torpeur. Il a été laissé entre les mains de son Primogène.

Mademoiselle Lilly nous a raconté avoir été témoins de la scène pendant laquelle les 33 cadavres apportés à la morgue la semaine passée se seraient entre dévorés, cependant je n'ai pas put noter tout les détails du récit. Mademoiselle Lilly, si la chose ne vous offusque pas, pourrais-je vous demander de me relater l'histoire une nouvelle fois, afin qu'il ne nous manque aucune information?

Anick s'interromps et attends de voir si quelqu'un a quelque chose à ajouter ou si Lilly va répondre. Plusieurs fois dans son énumération, lorsqu'elle arrivait aux parties plus violentes de ses notes, ses mains avaient légèrement tremblées et l'ombre d'une larme avait refait surface dans les yeux bleus de la Kindred. Elle avait, cependant, tenté tant bien que mal de ne pas s'interrompre, et avait finalement réussit à arrêter de parler.

André avait écouté attentivement.

- Merci pour le rapport Anick. Vos opinions sont notes et appréciées. Merci aussi de vous assurer de continué à toujours séparé aussi clairement les faits de vos impressions. Je ne cherche à vous faire aucune offenses en disant ceci, mais je crois qu'il est important que les deux restent distinct. Bon travail."

Suite à quoi, il se retourna vers Lilly.

- Mademoiselle, est-ce que la requite de mademoiselle Beausoleil vous convient?"