À l'Élysée du Vieux Médiane, 2013-06-19

HRP: Par rapport à la situation présente (et plus précisément, la nouvelle arrivante), cliquez sur le spoiler qui concerne votre niveau de connaissance. Ne cliquez pas sur ceux qui ne vous concernent pas. (Si vous ne qualifiez pour aucun d'entre eux, eh bien... passez votre tour, tout simplement.) Il s'agit d'un outil pour mieux vous guider au niveau de vos réactions, ainsi que pour solidifier vos connaissances "réelles" au sein de la game.

CONNAISSANCE DE BASE - (Intelligence + Politics à 4 OU Intelligence + Occult à 5 OU Intelligence + Camarilla Lore 3):

CONNAISSANCE MOYENNE - Intelligence + Politics à 6 OU Intelligence + Occult à 7 OU Intelligence + Camarilla Lore 5:

CONNAISSANCE AVANCÉE - Intelligence + Politics à 8 OU Intelligence + Occult à 9 OU Intelligence + Camarilla Lore 7:

À l'arrivé du très haut chevalier, André lui avait démontré toutes les politesses et marques de respects dues à son status.

À l'intervention du Nosfératu, André avait été mal à l'aise, comme tout le monde, mais s'était visiblement efforcé de ne pas le démontré. Évitant une réaction trop vive qui aurait pu avoir des conséquences sociales désagréable.

Lorsque le très haut chevalier s'était levé, c'est avec son contingeant de suivants, tels les courtisans d'un suzerain. L'intendant se leva, mais à une vitesse et avec un sense du timing calculé. Pas trop vite, pour ne pas avoir l'air de chercher à devancer son primogène. Mais pas trop lentement, pour ne pas démontré de l'indiférence envers sont primogène. Non, André s'était levé avec juste le bon délai pour démontre qu'il était avec son primogène, mais indéniablement derrières lui, et socialement sous celui-ci.

Il suivit Lhionel jusqu'à la Soeur Maxime Artenie. Il se tint à une certaine distance. Assez proche pour être de service si on l'appel, ou qu'il soit socialement agréable de l'introduire à la nouvelle arrivante. Mais aussi assez loin pour qu'il soit socialement acceptable de l'ignorer complètement. De même, la distance était suffisante pour ne pas entendre à moins que les vampires ne parlent à un volume désignant qu'ils souhaitaient être entendu. Et c'est là que André restat, debout, en attendant avec les Toréadores qui auraient suivie sont exemple (S'il y en a).

À la question de Victoria, Doyon se contenta de sourire et de se diriger vers Émilienne, offrant toujors son soutient à la Toréadore si cela s'avererais nécéssaire.

Il n'écouta que d'une oreille le discours du Très-Haut Chevalier, mais observant d'un oeil discret l'arrivée de la nouvelle venue manifestement ecclésiaste, tout en se dirigeant vers la dame d'une cinquantaine d'années, seule dans son coin.

Il attendit que Victoria soit comfortablement assisse avant de prendre place lui-même.

- Bonsoir Émilienne, comment vas-tu? Le voyage n'a pas été trop éprouvant?

La Malkavian qui était restait en retrait porta son attention sur son corps. Son visage exprima un sentiment malsain.
Elle était déjà à une certaine distance, mais elle s'éloigna davantage si c'était possible.
Son attention ce porta sur la salle avec mécontentement, si le terme était le bon.
La jeune vampire ne parvenait pas a caché un certain trouble lorsqu'elle s'arrêta sur les Toréador.

DOYON ET HOWARDS

Émilienne se lève pour accueillir le couple Toréador-Brujah, ses yeux exprimant sa grande surprise quant aux précédant événements. La dame s'incline légèrement avant de répondre à Doyon :

Bonsoir monsieur ! Le voyage a été digne des meilleurs films d'action de Schwarzenegger, à mon humble avis, et fort distrayant. Ça fait tellement plaisir de vous revoir : vous avez toujours aussi fier allure, joli garçon ! Et vous, ça a été ? Vous avez l'air en pleine forme !

LES TORÉADORS PRÈS DE LHIONEL

La nouvelle venue offre un sublime sourire au Primogène Toréador. Un sourire enchanté qui la porte à fermer les yeux à cause de son visage poupin. Elle semble totalement heureuse en faisant une petite révérence bien modeste et tout à fait courtoise en réponse à celle du Chevalier. Quand elle répond, on peut imaginer des fleurs sur ses paroles et il faut tendre l'oreille pour l'entendre répondre joyeusement :

Très Haut Chevalier Lhionel Lerhouthier, l'ami des Empereurs, bienfaiteur et héro du royaume de France, orateur légendaire et bretteur extraordinaire, Primogène du Haut-Clan de la Rose pour la cité de Médiane, Très-Haut Chevalier de la Camarilla, Childe d'Hélène, Childe de Minos, Childe d'Arikel, Childe de Zillah, bien-aimée de Caine, Childe de Caine. (elle rit un peu, comme si ces mots étaient agréables en sa bouche) Ce voyage était empreint de bonté et d'attention, ainsi que d'une hâte grandissante de ma part et du meilleur de mes désirs de faire bonne figure en cette si magnifique cité ! Déjà (en jetant un regard circulaire empreint d'amour autour d'elle avant de revenir à Lhionel) je vois de si beaux visages et si grandes âmes que je suis émue jusqu'au plus profond de mon être. C'est un honneur pour moi que de fouler ce sol, Très-Haut-Chevalier !

Pour peu et l'on verrait une lumière bénie littéralement en ses yeux.

* Arrivée près d'Émilienne, Victoria ne s'était pas assise. Elle avait marché en prenant le bras de Doyon. Le Brujah avait pu sentir sa prise se crisper lorsque la religieuse avait fait son entrée. Elle semblait tout de même suffisamment stable sur ses jambes pour ne plus avoir besoin de se soutenir au bras de son compagnon. Elle garda tout de même sa main, qui se décrispa lentement, déposée sur l'avant bras de ce dernier. Elle participa à la conversation, d'une intonation qui se voulait joyeuse, mais d'où pointait une certaine nervosité. Elle parlait assez fort pour être entendue de ses compagnon, mais suffisamment bas pour ne pas nuire aux conversations environnantes.*

En effet, votre départ de Québec ne semble pas vous avoir affecté beaucoup. Avec la débrouillardise que je vous connais, je n'en suis guère étonnée. Dîtes-moi, êtes-vous bien installé dans notre belle cité? Avez-vous trouvé un endroit sûre? À ce que je sache, vous ne connaissez personne ici.

À Émilienne:

- Autant que permis disons. Il est certain que d'un certain point de vue il s'agissait de quitter une guerre pour plonger dans une autre. La différence viens des chances de victoires.

À Victoria:

- Vous savez les gens comme moi apprennet rapidement à s'adapter et ne pas trop s'attacher à ce qu'ils ne peuvent pas quitter en quelques secondes. Même si c'est un principe que je n'ai pas toujours suivi... J'ai trouvé quelque endroits prometteurs oui, mais rien de bien concret. J'ai rencontré quelques personnes, principalement des Toréadors, mais de là à parler de "connaître" quelqu'un, vous savez, il y a une marge.

- Mon plaisir point n'est mesurable. Sans nul doute, votre oeil fin apprendra à connaître la terre que votre pied délicat, aisi que ceux qui composent sa populace. Mille pardons, mais point ne devons nous emporter par la distance du temps et des arpents qui nous séparèrent: il convient qu'à nul autre que Sa Majesté elle-même soyez présentée en premier lieu, et immédiatement.

Lhionel prit noblement cette nouvelle arrivante à son bras, et la conduisit élégamment vers le Prince de Médiane, Julien Desrois. La dame qui était entrée en même temps que Lhionel, pour sa part, suivait le Primogène Toréador à une certaine distance, tout comme Mr. Howards, sans faire de bruit, et sans se faire insistante. Devant le Prince, Lhionel fit une révérence.

- Votre Majesté, me permettrez-vous de vous présenter, humblement, une dame de fort agréable qualité? Soeur Maxime Artenie, Childe de Victor Wolff, Childe de Doran, Childe de Gaius Marcellus, Childe d'Alexandre, Childe de Veddharta, Childe d'Enoch, Childe de Caine. Sans nul doute, ce nom vous rappellera t-il une dame du Clan de sang royal, qui est le vôtre, dont le talent, remarqué par l'actual Justicar Ventrue, dont elle est l'auguste descendante, n'est égal qu'à sa dévotion envers la Camarilla, ainsi que le Tout-Puissant.

* Au fils de la conversation le ton et la posture de Victoria semblèrent regagner en assurance. Son sourire sembla moins figé et plus sincère.*

Je serais fort déçue que vous ne puissiez vous trouver un logis convenable dans la cité qui m'est si chère. Si le cœur vous en dit, je serais heureuse d'encore vous accueillir chez moi. La maison est suffisamment grande pour accueillir une personne de plus. Cela vous enlèverait un tracas le temps que vous appreniez à connaître la ville. Le service, je vous l'assure serait réciproque. Lady Rushworth étant absente ainsi que sa suite, je me sentirais plus en sécurité vous sachant sous le même toit.

* Se tournant vers Émilienne.*

Qu'en penses-tu Émilienne?

LES TORÉADORS PRÈS DE LHIONEL

À l'approche du Très-Haut-Chevalier, le Prince se lève, vite imité de sa Cours. La posture droite et le regard franc, il lève un sourcil aux paroles du grand Toréador. Un sourire en coin se dessine sur son visage tandis qu'il détaille pendant quelques secondes la Soeur qu'il saluera d'une grande politesse et répondra à Lhionel :

Très-Haut-Chevalier, votre lumière attire de bien douces phalènes en ma grande cité ! C'est un honneur pour Médiane que de recevoir une si réputée visiteuse. Aussi la cité sera-t-elle mère-d'accueille bien faisant. Puis-je cependant demander la raison d'une si merveilleuse venue ?

Maxime Artenie garde le silence, toujours souriante. Cette question fut posée en regardant Lhionel, elle retient donc sa langue, toujours heureuse semble-t-il et pleine d'amour à l'égard de tout le monde.

DOYON ET HOWARDS

Émilienne a un signe affirmatif de la tête et déclare :

Sincèrement, je ne me passe presque plus de monsieur Lorenzo avec ces rumeurs de guerre. N'en déplaise à son ami (l'air un peu mal à l'aise), je suis désolée de l'en priver... Mais je n'ose plus allez faire mes courses seule, et le moindre bruit me fait sursauter. Ne le prenez pas mal, monsieur Doyon mais... Vous êtes "l'homme" de "bien des situations" ! (Avec un sourire gêné) Et je n'ai pas de bonnes augures ; il y a du sang partout dans la ville.

- Gaius Marcellus, qui, sans tirades prolixes, dû nous priver inopinément de la présence de sa précédente ambassadrice, gracieusement et vitement, s'assura qu'en ces troubles temps, nous jouissions de l'âme dévotieuse de Soeur Maxime Arténie.

Cela vous plaît-il?